Aaahhh les tatouages… C’est vraiment quelque chose qui me fascine, il y a tellement une belle démarche derrière la majorité de ceux-ci. (Vous pouvez lire la première partie D’histoires de tatouages, ici)
Pour ma part, ça a été le cas, mais particulièrement pour mon deuxième tatou, qui est vraiment récent !
Mon premier
Je vais vous ramener dans ma jeunesse pour ce qui est de l’histoire de mon premier tatouage, c’est-à-dire lorsque j’avais environ 19 ans, et bien franchement, peu de gens de mon âge à l’époque en avait. Je m’étais toujours dit qu’après mes 18 ans, je m’en ferais faire un. J’avais un ami qui avait vécu certaines difficultés et était allé s’en faire deux par le même tatoueur, qui était pas loin et pas cher…
Je partais de rien, donc tant qu’à me casser la tête, j’y suis allée simple : j’aimais beaucoup les dragons à cette époque, je trouvais leur force et leur côté si mystérieux très significatifs. Ma mère m’avait rapporté une petite statuette de dragon de son voyage en Floride, je l’ai apporté à un ami pour qu’il me dessine seulement l’aile. Je suis partie de ça et d’une autre image trouvée sur Internet pour le faire finaliser chez le tatoueur.
J’ai décidé de le faire dans le bas du dos, parce que (à mes yeux) c’était discret, et si on poussait l’idée plus loin, c’était une bonne place pour des ailes de dragon. 😉
Malgré que j’appréhendais énormément la douleur, l’heure est passée et j’avais un tatou sans avoir vraiment souffert. Est-ce que je l’aime encore ? Oui… mais j’aimerais éventuellement le faire grandir, lui ajouter de la douceur.
Mon deuxième
Pour mon deuxième tatouage (qui date d’août 2017), on est complètement ailleurs. Depuis plusieurs années, je repoussais le moment d’en avoir d’autres, mais là j’avais besoin d’une symbolique très forte, quelque chose d’inspirant.
Alors avec mon bff qui connaît tout de moi, on a brainstormé. J’ai toujours eu une relation vraie avec lui, donc c’est sûr que l’idée qui allait sortir de tout ça allait être puissante et remplie de sens. On s’est lancé dans des réflexions à propos de nous deux, de notre lien : qu’est-ce qu’on aimait de l’autre, qu’est-ce qui faisait qu’on était encore dans cette énergie, malgré plusieurs années sans se voir, sans contact autre que par courriel.
Entretemps, j’ai cherché des images qui m’inspiraient, et je suis tombée sur cette image-là.
J’y suis restée accrochée. Il ne fallait plus que trouver un mot puissant, qui allait me faire vibrer toujours, année après année. C’est mon ami qui a trouvé le mot (véritas) et c’est la tatoueuse qui a finalisé le tout, qui a donné tout son sens au produit final.
Mon choix s’est tourné vers Emilie Huot pour réaliser ce tatouage. J’ai eu la chance d’être accompagnée par Daphnée, qui elle aussi se faisait tatouer cette journée, son premier tatou ! Histoire à suivre dans un prochain article !
Ce ne sera définitivement pas mon dernier, j’ai déjà d’autres idées en tête, dont un tatou avec ma soeur, un avec Daphnée, un mandala que j’aimerais sur l’épaule et… plein d’autres haha ! J’ai aussi repéré les personnes par qui j’aimerais faire réaliser mes futurs tatouages dont Julya Art et Valerie Houle !
Et vous, montrez-nous donc ça sur Facebook, vos belles créations ! Et présentez-nous vos tatoueurs aussi !
–Crédit photo de couverture : Cristina Gottardi-Unsplash
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